Pas de késaco cette semaine,

mais enfin la réponse à celui de la semaine dernière !!

Eh oui il y a des semaines avec

et des semaines sans...

 

 Je vous remercie pour votre nombreuse participation

et votre patience à attendre la réponse.

Voilà ce que nous cherchions : un pressoir,

il se trouve dans le jardin de nos cousins du Mans.

Ah la Sarthe a été porteuse de késacos.

 

Voici vos réponses,

elles ont été nombreuses et variées :

Un soufflet pour attiser le feu ; 

Un ancien sécateur ou ciseau ? ou

une aiguille ( je ne sais plus le vrai nom )

pour réparer  les filets de pêche ? ;

 Un coffin pour pierre à aiguiser ;

 Souffler n'est pas  jouer,  bon soufflet  pour le réel ;

Un haut d'un marteau !! ;

Un manche d'outil ;

Un vieil outil peut-être, un vieil (ou pas) objet décoratif pour le jardin, je ne sais pas,

il semble être placé dans des géraniums (?)

et on dirait que la partie du haut de l'objet est mobile...je sèche !!!! ;

Une pièce de bois mais à quoi peut-elle servir ;

 Je reviens en arrière et en regardant de plus près,

je vois deux vis....    Et si c'était un "bouton de sonnette" ?

P'être ben que oui, p'être ben que non !".

Eh oh,

moi aussi je veux participer au késaco

 

Il n'y a qu'une seule gagnante.

 

à 

Mimi du sud

qui a un pressoir décoratif dans son jardin

et qui l'a mis sur la voie.

Nous continuons notre visite

à l'exposition du Thé à la Maison de l'Artisanat.

La découverte autour de l'An Mil en Chine des gisements kaolins

permet le développement de l'industrie porcelainière.

Les premières procelaines blanc-bleutés

apparaissent et vont séduire les amateurs de thé.

Au XVII° siècle et en partie au cours du siècle suivant,

la préparation du thé la plus courante

consiste à broyer les feuilles le plus fin possible

et à les faire bouillir dans une marmite en y ajoutant des aromates.

Des théières miniatures.

La mixture sera servie dans des bols à la louche.
Ce mode de préaparation sera introduit au Tibet et

en Mongolie où il perdure encore.

Les mystérieuses propriétés du thé qui libèrent l'esprit

et renforcent les liens entre amis se trouveront amplifiées

avec la méthode du thé battu.

Cette méthode consiste à mettre du thé vert en fine poudre,

de le battre en le mélangeant avec de l'eau bouillante.
Cette émulsion mousseuse est un breuvage tonique.

 

Les premiers théiers sont acclimatés au Japon,

le thé entre lentement dans les moeurs.

Entre le VI° et X° siècle, le développement de la céramique

est l'impact le plus direct sur l'économie du thé.
Les fours se multilplient, pour façonner des créations

en grès style bols, verseuses.

L'ancienne route du thé et des chevaux

établie dès les Tang et active jusqu'au XX° siècle,

sera à l'origine des créations originales en métal,

argent, cuivre et laiton.
Les empereurs mandchous de la dynastie des Qing

chercheront à se rapprocher du monde lamaïque tibéto-mongol.

La suite la semaine prochaine.

 

Sources :

   

http://www.maisondelartisanat.org/expos/2015-the.htm

Nous avons eu la visite des libellules.

Le farniente 

avec le barbecue,

ce jour-là c'était côtelettes d'agneau.

Puis monsieur coincoin a eu la bonne idée

d'installer la piscine.

Pour terminer ce billet

un panier garni.

Oignons blancs et pommes de terre nouvelles.

La pluie est annoncée

pour ce  week-end chez nous.