Quand il y a un début, il y a forcément une fin.

Nous arrivons au terme notre escapade dans les calanques. 

Nous voilà déjà aux portes de Marseille.  

Le grand immeuble que l'on voit est l'immeuble du Corbusier.

La corniche avec la Bonne Mère sur la colline.

L'île de Gaby.

Le Pont de la Fausse Monnaie.

Le pointu du pêcheur en contraste avec les paquebots.

Le phare de la Grande Jetée.

Dernier montage des calanques.

pour une nouvelle balade.

 

Le késaco de cette semaine vu sous un autre angle.

 

Une partie du Port Autonome de Marseille
Nous voici du côté de l'Estaque avec, en fond son port de plaisance

 Toujours le port de plaisance de l'Estaque sous un autre angle

Voilà une semaine que je vous ai promis le coucher de soleil. Nous y sommes enfin.

Si vous êtes bien installés, nous pouvons commencer à l'observer.

      

Soleil couchant

Les ajoncs éclatants, parure du granit, 

Dorent l'âpre sommet que le couchant allume ; 

Au loin, brillante encor par sa barre d'écume, 

La mer sans fin commence où la terre finit.

A mes pieds c'est la nuit, le silence. Le nid 

Se tait, l'homme est rentré sous le chaume qui fume. 

Seul, l'Angélus du soir, ébranlé dans la brume, 

A la vaste rumeur de l'Océan s'unit.

Alors, comme du fond d'un abîme, des traînes, 

Des landes, des ravins, montent des voix lointaines 

De pâtres attardés ramenant le bétail.

L'horizon tout entier s'enveloppe dans l'ombre, 

Et le soleil mourant, sur un ciel riche et sombre, 

Ferme les branches d'or de son rouge éventail.

José-Maria de Heredia

 

 

Voilà, il est 19h, la nuit est tombée, l'heure du retour a sonné.

Nous espérons que vous avez passé un bon moment et vous souhaitons un